Occurences de l'expression

est

pour PALISSOT de MONTENOY, Charles

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LE CERCLE (1760)

  1. Oui, c'est la vérité, c'est elle qui m'inspire : v.1 (Prologue, scène 1, MINERVE)
  2. Pour la postérité, quel plus funeste exemple v.10 (Prologue, scène 1, MINERVE)
  3. Alluma le flambeau de la destruction; v.20 (Prologue, scène 1, MINERVE)
  4. Oui, leur règne est passé ; qu'ils tremblent à leur tour, v.27 (Prologue, scène 1, LA GLOIRE)
  5. Et que c'est une idée délicieuse. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  6. Oui, prodigieusement ; c'est le mot. (Acte 2, scène 1, ARISTE)
  7. J'aime les arts ; je respecte ceux qui les cultivent, et je pense sérieusement que le peu de considération que l'on a pour eux dans le monde, est un reste de barbarie, une espèce de vengeance que prennent les sots de la supériorité que les gens de mérite ont sur eux ; et je ne conçois pas comment la France, qui doit tant aux grands hommes qui l'ont éclairée, peut avilir elle-même ce qui la rend si considérable aux yeux des autres nations. (Acte 2, scène 1, ARISTE)
  8. Vous n'y pensez pas, Ariste; je fais autant de cas que vous des vrais talents : mais il en est de subalternes qu'un esprit de vertige ou de mode a tirés de l'obscurité, qui, à la faveur de la singularité ou du manège, sont parvenus à une réputation usurpée, dont ils abusent pour étouffer le vrai mérite ; et je crois que, dans tous les états, il est permis de s'amuser des charlatans et du peuple. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  9. À vous entendre, on croirait qu'il n'est question ici que de gens de lettres, et vous savez que je vous ai promis des ridicules de plus d'un genre. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  10. Mon mari a la fantaisie de tenir cercle trois jours de la semaine, de recevoir des savants, des beaux-esprits, des originaux de toute espèce ; et ce qui à tout autre que lui paraîtrait singulier, bizarre, extravagant même, est précisément ce qui lui plaît davantage. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  11. Aujourd'hui qu'il est à la campagne, je me propose de me réjouir un peu aux dépens de sa société ; je veux vous la faire connaître, jouir de la surprise que vous causeront, certains ridicules que j'aurai soin de faire sortir assez pour qu'ils nous donnent la comédie. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  12. Où donc est le crime de tout cela ? (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  13. Vous n'en serez que plus à votre aise pour remplir le rôle que je vous destine. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  14. La beauté du jour nous invite à rester dans ce jardin ; je vais donner mes ordres pour qu'on laisse entrer : mais souvenez-vous que je veux que vous soyez plaisant. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  15. Cette aimable enfant qui promettait un si bel avenir, lorsque je partis pour la province, et qui, je crois, vous est un peu parente ? (Acte 2, scène 1, ARISTE)
  16. C'est une affaire de coeur, une querelle de jeunes gens... (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  17. Oui, le choix qu'elle a fait est convenable ; et si je réussis, comme je l'espère, à dissiper ce petit nuage, la fête dont je vous ai parlé sera pour elle. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  18. C'est un poète qui a fait autrefois quelque bruit, mais avec qui ses protecteurs viennent de s'abonner pour qu'il cesse d'écrire. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  19. C'est un petit ressentiment qu'il a contre le public, qui vient de siffler impitoyablement une de ses pièces, dont le succès lui tournait la tête avant la représentation. (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  20. Tant mieux, nous allons peut-être lui trouver de la modestie. (Acte 2, scène 1, ARISTE)
  21. Un poète médiocre, sifflé, et modeste ! (Acte 2, scène 1, ORPHISE)
  22. Il faut bien que j'aie mérité mon malheur par quelque endroit, et que la prévention qu'il est si naturel d'avoir pour ses ouvrages, m'ait aveuglé sur mes défauts. (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  23. Mais c'est parler on ne peut pas plus sensément, et je vois bien que vous avez voulu me surprendre... (Acte 2, scène 2, ARISTE)
  24. On nous annonce comme des prodiges ; le public n'en est que plus en garde contre nous : et malheureusement ma pièce démentait trop visiblement les éloges fastueux qu'on m'avait donnés. (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  25. Votre modestie, monsieur du Volcan , ne peut me convaincre que l'on vous ait rendu justice. J'en appelle du public au public même : car enfin de véritables connaisseurs m'ont assuré que le plan de votre pièce était absolument dans les règles ; qu'il y avait de l'intérêt, des situations parfaitement dessinées, une décoration merveilleuse, des coups de théâtre à chaque scène... (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
  26. Quant à l'intérêt, comme il ne dépend que du choix du sujet, et que souvent ce choix n'est pour nous qu'une bonne fortune du hasard, je crois pouvoir convenir, sans orgueil, que le pathétique du mien s'est fait sentir dès l'exposition : aussi, malgré le tumulte du parterre ; on a remarqué des moments où le grand intérêt gagnait jusqu'au souffleur. (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  27. Le style est en effet une partie bien essentielle... (Acte 2, scène 2, ARISTE)
  28. Pour les vers, Monsieur est excusable d'en parler ainsi : il ne connaît pas l'ouvrage. (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  29. La cabale ; car avec du mérite on a des flots d'ennemis : le mauvais goût ; on ne veut plus aujourd'hui que des misères, des brochures, des sauts périlleux, de vils bouffons, de ridicules ariettes, et c'est ce qui déshonore la nation : le poète Capraro, à qui l'impuissance de plaire a donné la fureur de nuire, et qui, de temps en temps, s'agite sous le mépris public dont il est couvert, pour tâcher d'en rejeter quelque partie sur les autres : les acteurs enfin, qui ne savaient pas leurs rôles, qui ont joué faux d'un bout à l'autre de la pièce : une actrice surtout, à qui j'avais refusé de faire une épigramme contre sa rivale, et qui ne m'a jamais pardonné de l'avoir surprise dans son négligé. (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  30. J'ai remarqué qu'il est difficile que le Français admire longtemps, sans qu'il lui prenne envie de rire. (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  31. Il en saisit l'occasion avec une avidité qui prouve bien que c'est son goût dominant. (Acte 2, scène 2, LE PO?TE)
  32. C'est un présage de réussite : aussi bien, ne voyez-vous pas que Molière ennuie ? (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  33. C'est qu'il est trop uniforme ; il faut toujours rire avec lui : mais par le mélange que j'invente, on aura de plus le plaisir d'être attendri. (Acte 2, scène 2, LE PO?TE)
  34. C'est de l'invention que cela ! (Acte 2, scène 2, LE-POÈTE)
  35. C'est savoir se placer, que d'imaginer une ressource comme celle-là, et je conçois que ce genre amphibie peut devenir très plaisante. (Acte 2, scène 2, ARISTE)
  36. Elle-même ; c'est la douairière de nos femmes beaux esprits. (Acte 2, scène 3, ORPHISE)
  37. Physique, géométrie, beaux-arts, tout est de son ressort ; et nous avons d'elle un traité des forces mouvantes. (Acte 2, scène 3, ORPHISE)
  38. Celle-ci d'ailleurs est si journalière, qu'on la trouve, tour-à-tour, ingénieuse ou sotte, selon les personnes qu'elle a vues la veille. (Acte 2, scène 3, ORPHISE)
  39. Elle a son jour de belles-lettres, son jour de philosophie, son jour de vapeurs enfin, qui est ordinairement celui où elle écoute tout le monde, pour avoir de l'esprit le lendemain. (Acte 2, scène 3, ORPHISE)
  40. Elle est dans son jour d'érudition. (Acte 2, scène 4, ORPHISE)
  41. C'est par cette heureuse méthode que l'on est parvenu à déterminer les quantités incommensurables. (Acte 2, scène 4, LA-FEMME-SAVANTE)
  42. Ce n'est là qu'une légère esquisse d'un article que je destine à l'Encyclopédie. (Acte 2, scène 4, LA-FEMME-SAVANTE)
  43. Ils sont convenus de déférer en tout au jugement des femmes ; et ce n'est pas une légère preuve des progrès de l'esprit philosophique dont s'honore la nation. (Acte 2, scène 4, LA-FEMME-SAVANTE)
  44. C'est du moins ce que démontra parfaitement, il y a quelques jours, monsieur du Volcan, dans un cercle où je présidais. (Acte 2, scène 4, LA FEMME SAVANTE)
  45. Il faut convenir que c'est un homme admirable, que ce monsieur du Volcan ! (Acte 2, scène 4, LA FEMME SAVANTE)
  46. Il est si persuadé de cette vérité, qu'il ne donnerait pas la plus petite brochure sans m'avoir consultée. (Acte 2, scène 4, LA FEMME SAVANTE)
  47. Il est vrai que je lui communique aussi mes ouvrages ; et il en est toujours si content ! (Acte 2, scène 4, LA FEMME SAVANTE)
  48. Je n'en saisis pas toujours la pensée, et c'est ce qui me charme : j'aime qu'elle soit assez adroitement enveloppée, pour laisser un mérite à la pénétration du lecteur. (Acte 2, scène 4, LA-FEMME-SAVANTE)
  49. C'est un plaisir délicieux, et que monsieur du Volcan a pu vous donner quelquefois. (Acte 2, scène 4, ORPHISE)
  50. C'est Euclide et Pindare tout ensemble. (Acte 2, scène 4, LA-FEMME-SAVANTE)
  51. J'avoue que leur partage est de plaire ; que leur sentiment vif et délicat doit être consulté de préférence, peut-être, dans les ouvrages d'agrément ; que les Savants mêmes sont redevables à leur commerce, de ce vernis de politesse qui s'est répandu jusque sur eux. (Acte 2, scène 4, ARISTE)
  52. Un pédant, même en rabat, est, à mon avis, un étrange animal ; mais un pédant en cornettes confond toutes mes idées ! (Acte 2, scène 5, ARISTE)
  53. C'est un genre de ridicule si bizarre, qu'à peine je l'aurais cru possible. (Acte 2, scène 5, ARISTE)
  54. C'est encore la plus raisonnable de son espèce. (Acte 2, scène 5, ORPHISE)
  55. En vérité, ce George est divin, sublime, essentiel à l'État. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  56. Tout ce qui sort de ses mains est d'une élégance qui enchante. (Acte 2, scène 6, LE FINANCIER)
  57. Le travail en est surprenant. (Acte 2, scène 6, ORPHISE)
  58. Je crois cependant m'apercevoir qu'il est un peu louche. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  59. Qui est cet homme-là ? (Acte 2, scène 6, LE FINANCIER)
  60. C'est un de mes amis, monsieur Lisidor, homme de goût, de bonne compagnie. (Acte 2, scène 6, ORPHISE)
  61. C'est mon faible, à moi, que les gens de goût, ceux, surtout, qui ont l'épigramme leste. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  62. Je dois leur connaissance à mon cuisinier, qui est lui-même un virtuose, du premier ordre : je veux que Monsieur en décide, et je me flatte que ce soir... (Acte 2, scène 6, LE FINANCIER)
  63. J'avoue que la décision est intéressante ; mais... (Acte 2, scène 6, ARISTE)
  64. Je ne crois pas qu'il y ait au monde un relieur comme le mien : il faut qu'il ait employé chez moi tout le maroquin du Levant ; mais c'est son travail dont il faut juger. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  65. En vérité, ce n'est qu'à regret que j'ouvre mes livres. (Acte 2, scène 6, LE FINANCIER)
  66. C'est en faire un très bon usage. (Acte 2, scène 6, ORPHISE)
  67. C'est un organe dont on ne se fait point d'idée, et l'instrument le plus mélodieux, le plus enchanteur que je connaisse. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  68. Mais c'est où je triomphe. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  69. La Duchapt, vaincue dans sa propre science, est venue me demander des modèles. (Acte 2, scène 6, LE FINANCIER)
  70. C'est par moi que la Finance a commencé, dans les choses de goût, à prendre insensiblement le pas sur la Cour ; et c'est une justice que doit me rendre publiquement un de mes poètes dans sa première dédicace. (Acte 2, scène 6, LE FINANCIER)
  71. Je l'avouerai : sur le préjugé que les faveurs de la fortune sont ordinairement très gratuites, qu'elle est d'ailleurs presque toujours suivie de la flatterie qui la caresse, et de l'ignorance, fille du luxe et de l'oisiveté, j'envisageais ces messieurs en gros, comme des êtres nécessairement massifs, lourds, épais, n'existant qu'en estomac, ensevelis dans un volume de matière grotesquement taillée... (Acte 2, scène 6, ARISTE)
  72. Il est vrai que le portrait de Monsieur est d'une décrépitude !... (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  73. C'est ma passion que de mener. (Acte 2, scène 6, LE-FINANCIER)
  74. C'est un homme d'un genre si nouveau dans la société, que je n'ai pas encore eu le temps de l'approfondir. (Acte 2, scène 8, ORPHISE)
  75. Mais, en effet, c'est la maladie épidémique : jamais on ne vit tant de philosophes. (Acte 2, scène 8, ORPHISE)
  76. J'ai publié que ce que tous les hommes avaient estimé jusqu'à présent, n'avait servi qu'à les rendre fripons ; et que, tout calcul fait, il valait mieux parier pour la probité d'un sot, que pour celle d'un homme d'esprit. (Acte 2, scène 8, LE-PHILOSOPHE)
  77. Mais enfin, c'est tout ce que je désirais. (Acte 2, scène 8, LE-PHILOSOPHE)
  78. À la faveur de mes opinions singulières, je prétendais à la considération ; j'ai réussi d'abord au-delà de mes espérances, tout concourait à ma célébrité : mais l'estime se perd par l'habitude. (Acte 2, scène 8, LE-PHILOSOPHE)
  79. C'est elle-même. (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
  80. Lindor serait trop flatté, s'il était témoin de ce petit désordre ; et s'il est dans son tort, comme je le pense, il ne mérite pas de déranger nos plaisirs. (Acte 2, scène 10, ORPHISE)
  81. S'il est dans son tort, Madame ? (Acte 2, scène 10, LUCINDE)
  82. Je veux vous le faire connaître, Ariste. Il approche ; c'est mon médecin. (Acte 2, scène 10, ORPHISE)
  83. Monsieur est un élève d'Hippocrate ? (Acte 2, scène 11, ARISTE)
  84. C'est au moins se bien porter d'une façon très malhonnête. (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  85. C'est avoir fait du chemin : mais j'interromps l'histoire d'Hippocrate. (Acte 2, scène 11, ARISTE)
  86. C'est pitié de voir combien il se donnait de peine pour observer les maladies ! (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  87. Nous voyons des malades; pour des maladies, c'est autre chose. (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  88. C'est son estomac dont elle se plaint. (Acte 2, scène 11, ORPHISE)
  89. C'est une petite tracasserie que cela, et qui n'est pas sans doute fort ancienne ? (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  90. Voilà qui est d'une opiniâtreté choquante. (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  91. Il y a comme cela des estomacs qui ont dès fantaisies. (Acte 2, scène 11, LE M?DECIN)
  92. C'est, plus honnêtement, l'esprit éthéré, le fluide nerveux, devenu de nos jours électrique, qui vous cause des grippements de nerfs, des agacements, des mouvements spasmodiques.... (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  93. Il est savant, du moins, le petit Docteur ! (Acte 2, scène 11, ORPHISE)
  94. C'est ce qu'il me semble. (Acte 2, scène 11, ARISTE)
  95. C'est qu'il est charmant avec ses petites phrases ! (Acte 2, scène 11, ORPHISE)
  96. Le miel aérien, c'est de la manne : les siliques égyptiaques, de la casse. (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  97. Il faut que je vole au Marais, chez la présidente Bélise : c'est aujourd'hui son jour de migraine. (Acte 2, scène 11, LE MÉDECIN)
  98. Ce n'est point là le médecin qu'il vous faut, ma chère Lucinde. (Acte 2, scène 12, ORPHISE)
  99. Quand on ne s'évite pas plus que cela, on n'est pas loin de se rapprocher. (Acte 2, scène 12, ORPHISE)
  100. Non, Madame, non ; c'est une perfidie qui n'a point d'exemple, et vous aurez beau me parler en sa faveur. (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  101. Je ne doute pas, ingrate, du soin que vous aurez pris de prévenir ici tout le mondé contré moi; mais j'aurai du moins la consolation dé publier une inconstance qui vous.... déshonoré, oui, qui vous déshonore : le terme est fort, je l'avoue, mais il est placé. (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  102. Vous voyez, Madame, qu'elle ne peut supporter ma présence ; c'est un témoin qui l'accuse, et une confusion que je veux bien encore lui épargner. (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  103. C'est vous, Lucinde, qui m'y forcez. (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  104. Mais, après ce que j'ai vu, il ne m'est plus permis de douter de la vérité de cette indifférence. (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  105. Est-ce ainsi que l'on aime, Madame ? (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  106. Je vous le demande, est-ce ainsi que l'on aime ? (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  107. Ma vengeance en serait plus complète : mais est-on le maître de disposer si facilement d'un coeur où vous avez régné ? (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  108. Il n'y a que vous, dans le monde, capable d'une inconstance si prompte, si c'est une inconstance encore : car, vous ne m'avez jamais aimé, et vous n'avez que le choix de la légèreté ou de la coquetterie. (Acte 2, scène 13, LINDOR)
  109. Allons, Ariste, c'est une scène de plus à notre comédie ; et les folies de deux jeunes amants ne sont pas si déplacées qu'on le croirait, dans un cercle d'originaux. (Acte 2, scène 13, ORPHISE)

LES PHILOSOPHES (1760)

  1. Tout est changé, vous dis-je. v.2 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  2. Notre projet n'est pas de nous mésallier. v.4 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  3. Sans appel aujourd'hui la pomme est pour le sage. v.14 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  4. Toute femme est, monsieur, un animal changeant. v.16 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  5. Par les différents goûts dont son âme est éprise : v.18 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  6. Si l'on s'ennuie, au moins c'est avec de l'esprit. v.32 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  7. Mais notre fort, monsieur, c'est le raisonnement. v.36 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  8. Aux voeux de mon rival son coeur s'est-il rendu ? v.43 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
  9. Non, ce coeur est à vous. L'amour l'a défendu v.44 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  10. Le bel esprit, monsieur, est tout ce qu'elle adore. v.50 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  11. C'est une maladie inconnue à vingt ans ; v.51 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  12. Mais, dans ces beaux esprits que Cydalise estime, v.62 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
  13. N'en est-il donc aucun assez droit, assez franc, v.63 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
  14. Du plus grand air encor. Paris en est rempli. v.76 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  15. Quel qu'il soit, à madame est toujours sûr de plaire. v.81 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  16. Ou je me trompe fort, ou c'est votre rival v.88 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  17. Quel homme est-ce ? v.90 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
  18. Ce Monsieur Carondas est de mauvais augure ; v.98 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
  19. Quoi ! Crispin est ici ? v.100 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  20. Crispin est fort adroit ; j'en tirerai parti. v.103 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  21. On vient ; c'est Rosalie. v.109 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  22. À ce titre du moins quelque espoir m'est permis. v.119 (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
  23. Je le sais ! C'est à vous, Damis, de l'émouvoir ; v.124 (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
  24. Non : c'est par des combats v.128 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  25. Encore est-il permis de tenter l'entreprise. v.130 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  26. Oui ; c'est un beau moyen, des soupirs et des pleurs ! v.131 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  27. Pourquoi jusqu'à présent n'est-il pas déclaré ? v.136 (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
  28. Il est vrai ; les témoins ne sont pas invités, v.139 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  29. Non, c'est terreur panique, v.150 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  30. Ce cruel badinage est bien peu de saison. v.152 (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
  31. Non, monsieur, c'en est trop. v.154 (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
  32. Ah ! Vous vous fâchez donc ? Vraiment, c'est très bien fait. v.155 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  33. Qu'il est très naturel d'éloigner le danger, v.159 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  34. C'est un mal répandu dans toute la maison, v.172 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  35. Songez qu'il est grand jour dans cet appartement, v.180 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  36. Oui : Damis sort d'ici. Mais c'est à votre mère v.190 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  37. C'est la règle. Il faut donc déclarer sans détour v.195 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  38. Comment donc ! C'est très bien débuter. v.199 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  39. Ce n'est point à l'amour à vous tirer de peine, v.205 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  40. Il est trop mal adroit. Pensez à votre haine ; v.206 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  41. Dont il est important de vous bien pénétrer. v.208 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  42. Est de nos passions en effet la plus chère ; v.210 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  43. Mais ce n'est que faiblesse, et que timidité. v.211 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  44. La haine n'est qu'ardeur et que vivacité. v.212 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  45. Mais, ce n'est plus un jeu, j'aperçois votre mère. v.218 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  46. Et qui n'est, dans le fond, qu'un mensonge assez doux, v.232 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  47. Si je vous aime enfin, c'est en qualité d'être : v.246 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  48. Je ne puis soutenir ce funeste langage. v.261 (Acte 1, scène 5, ROSALIE)
  49. Oublier que ma vie est un de vos bienfaits ? v.264 (Acte 1, scène 5, ROSALIE)
  50. C'est ainsi que se font la plupart des affaires ; v.281 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  51. Tout mortel n'est pas fait pour aller au sublime ; v.285 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  52. Dans le fond, cependant, on lui doit de l'estime : v.286 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  53. C'est peu de vous aimer, il saura vous instruire ; v.290 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  54. En un mot, c'est de lui que mon coeur a fait choix. v.291 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  55. Votre père ! Il est vrai que je n'y songeais guère. v.294 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  56. Et de mille autres soins purement domestiques ; v.301 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  57. Mais il est mort enfin, laissons en paix sa cendre. v.309 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  58. Un père n'est qu'un homme, et l'on peut sensément v.311 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  59. Non, Valère est l'amant que j'ai choisi pour vous, v.319 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  60. Enfin, c'est en morale une encyclopédie, v.337 (Acte 1, scène 5, CYDALISE)
  61. Mourir ! Vous vous moquez, et ce n'est plus l'usage. v.346 (Acte 1, scène 6, MARTON)
  62. Mon âme en ce moment n'en est pas moins émue. v.350 (Acte 1, scène 6, ROSALIE)
  63. À tout évènement, c'est toujours fort bien fait, v.359 (Acte 1, scène 6, MARTON)
  64. Du moins c'est mon humeur. Le chagrin m'incommode. v.361 (Acte 1, scène 6, MARTON)
  65. C'est à quoi dans la vie il faut le moins songer, v.363 (Acte 1, scène 6, MARTON)
  66. Que c'est mon sentiment. v.379 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  67. Mais entre nous, monsieur, son livre est-il si bête ? v.386 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR CARONDAS)
  68. Il est, pour le gagner, des méthodes plus sûres. v.393 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  69. C'est un expédient par nos sages trouvé ; v.395 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  70. Le secret est certain, nous l'avons éprouvé. v.396 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  71. Bon ! La ruse est nouvelle ! v.401 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR CARONDAS)
  72. Et le reste en est-il ? D'abord avec pudeur v.403 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  73. As-tu donc oublié que Cydalise est femme ? v.406 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  74. L'amour propre est crédule, et l'on peut s'y fier. v.408 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  75. Sans doute, et cette idée, entre nous, n'est pas neuve. v.413 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  76. Le livre de Cratès n'en est-il pas la preuve ? v.414 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  77. Et pourtant nous savons que Cratès est bon homme. v.418 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  78. Il est vrai. v.419 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR CARONDAS)
  79. Et rien n'est plus aisé, nous la protégeons tous. v.424 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  80. N'est-ce rien ? Quitte après à tout désavouer. v.432 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  81. C'est un ressort usé qui réussit toujours. v.436 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  82. Rien n'est mieux inventé pour adoucir la vie. v.446 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR CARONDAS)
  83. Mais enfin nous savons quel est son vrai moteur. v.451 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  84. L'homme est toujours conduit par l'attrait du bonheur, v.452 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  85. C'est dans ses passions qu'il en trouve la source. v.453 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  86. Et la morale enfin est soumise au génie. v.458 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  87. Il n'est qu'un seul ressort, l'intérêt personnel ; v.460 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  88. À tous nos sentiments, c'est lui seul qui préside ; v.461 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  89. C'est lui qui dans nos choix nous éclaire et nous guide. v.462 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  90. Mais je vois clairement que la chose est permise. v.470 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR CARONDAS)
  91. La franchise est la vertu d'un sot. v.472 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  92. Bien voir ses intérêts, c'est être de bon sens. v.480 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  93. Le superflu des sots est notre patrimoine. v.481 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  94. Est très vrai dans le fond. v.483 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  95. Devraient être communs ; mais il est des moyens v.484 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  96. Corriger son étoile, et c'est une faiblesse v.486 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  97. Il est certains malheurs auxquels on se hasarde, v.493 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  98. Lorsque l'on est surpris. v.494 (Acte 2, scène 1, VAL?RE)
  99. Jusqu'ici, tout va bien ; sa fille m'est promise. v.498 (Acte 2, scène 1, VALÈRE)
  100. Mon premier coup d'essai n'est pas des plus heureux. v.508 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR CARONDAS)
  101. Et c'est au second rang que le destin m'appelle. v.510 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR CARONDAS)
  102. C'est, dit-il, un brevet pour l'immortalité ; v.523 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  103. Votre livre est nourri d'un savoir si profond v.528 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  104. Il faut que vous sachiez tout ce qui s'est écrit. v.532 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  105. Et c'est un pur hasard. v.534 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  106. C'est aussi mon avis, et je crois qu'en effet v.547 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  107. C'est un je ne sais quoi... dont notre âme est saisie... v.549 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  108. Cela se sent... enfin c'est l'attrait du génie. v.550 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  109. J'entends. C'est à peu près la vapeur d'un ragoût v.551 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  110. Oui ; la comparaison est pourtant trop vulgaire. v.553 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  111. Elle est de Lycophron. v.554 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  112. Ah ! C'est une autre affaire. v.554 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  113. Écrivez. "J'ai vécu". Non, c'est mal débuter. v.556 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  114. Ah ! Monsieur Carondas, votre plume est mauvaise. v.558 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  115. Cette simplicité, madame, est énergique. v.562 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  116. Effacez donc, monsieur ; votre encre est détestable. v.565 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  117. Quel métier ! Finissons. C'en est fait, j'y renonce. v.577 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  118. "Jeune homme prends et lis". le tour est-il unique ? v.581 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  119. C'est le ton du génie et de la vérité. v.583 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  120. "Jeune homme prends et lis" ! Il est inimitable, v.585 (Acte 2, scène 3, CYDALISE)
  121. La nature à tes yeux ici se manifeste. v.589 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  122. Non, rien n'est si sublime, et pourtant si modeste. v.590 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR CARONDAS)
  123. Madame, c'est Damis, v.591 (Acte 2, scène 4, MARTON)
  124. Que son temps est mal pris ! v.592 (Acte 2, scène 4, CYDALISE)
  125. L'ouvrage est fait, madame, à n'y plus revenir. v.596 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR CARONDAS)
  126. Je n'aperçois que trop, et c'est avec douleur, v.603 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  127. Et que votre amitié s'est enfin ralentie ; v.605 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  128. Vous savez à quel point votre fille m'est chère ; v.609 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  129. C'est votre aveu, du moins, c'est celui de son père, v.610 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  130. Le titre, je l'avoue, est assez légitime ; v.613 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  131. Je conviens de mes torts, non pas que mon estime, v.614 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  132. Et c'est ce que d'abord on aurait dû vous dire : v.617 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  133. Peu nombreuse, il est vrai : je vis avec des sages, v.625 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  134. C'est à vous de juger si, quoique votre amie, v.629 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  135. De ce vain appareil le vulgaire est séduit. v.639 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  136. Quoi ! Madame, il en est ? v.649 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  137. Et leur impression n'en est que plus durable. v.677 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  138. N'est que l'art dangereux de masquer nos défauts. v.680 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  139. C'est un voile à la fois honorable et commode, v.698 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  140. C'est pour le coeur de l'homme un sentiment trop vaste, v.713 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  141. Restez, monsieur, restez dans votre opinion. v.743 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  142. Il n'est point de remède à la prévention ; v.744 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  143. Crédule est devenu l'équivalent de sot : v.748 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  144. Aux yeux de bien des gens, du moins la chose est claire. v.749 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  145. C'est très bien fait à vous que d'avoir un avis. v.760 (Acte 2, scène 5, CYDALISE)
  146. Mais ils n'élèvent rien, et ce n'est pas instruire. v.766 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  147. Abjurez une erreur qui vous est étrangère, v.773 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  148. N'est-il point de remède ? v.787 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  149. C'est le plus court. v.790 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  150. Et c'est précisément le moyen de l'aigrir, v.799 (Acte 2, scène 6, DAMIS)
  151. Allons, c'est donc à moi par une heureuse audace, v.801 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  152. Oui, rions, c'est bien dit. v.827 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  153. Qu'est-il donc arrivé ? v.831 (Acte 2, scène 7, DAMIS)
  154. C'est donc ainsi, Marton, qu'ils trompaient v.834 (Acte 3, scène 1, DAMIS)
  155. Oh ! Je n'en doute plus, ce billet est trop bon ! v.836 (Acte 3, scène 1, DAMIS)
  156. C'est Frontin qu'il se nomme : v.841 (Acte 3, scène 1, CRISPIN)
  157. C'est que d'ailleurs il faut le rendre en leur présence, v.849 (Acte 3, scène 1, MARTON)
  158. On vient, c'est l'assemblée, éloignez-vous tous deux. v.859 (Acte 3, scène 1, MARTON)
  159. Hé ! Bien, le mariage est enfin décidé ? v.863 (Acte 3, scène 3, THEOPHRASTE)
  160. Oui, j'épouse ce soir. Le notaire est mandé. v.864 (Acte 3, scène 3, VALÈRE)
  161. Ma foi, cette fortune est due à ton mérite. v.866 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  162. Non je le pense, et c'est sans flatterie. v.869 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  163. Mais c'est la vérité. v.872 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  164. Cydalise... conviens que la dupe est bien bonne. v.881 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  165. Oui, l'amour ! C'est bien ce qui me tente ! v.889 (Acte 3, scène 3, VALÈRE)
  166. Mais c'est depuis son livre. v.902 (Acte 3, scène 3, VALÈRE)
  167. Entre nous, cependant, c'est son meilleur ouvrage. v.910 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  168. Je te dis qu'il est bien ; mais très bien. v.913 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  169. C'est une absurdité qui va jusqu'au délire. v.914 (Acte 3, scène 3, VALÈRE)
  170. Et j'en ris, qui plus est. v.923 (Acte 3, scène 3, VALÈRE)
  171. Ah ! C'en est trop enfin. v.924 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  172. L'estime qui toujours devrait nous animer... v.931 (Acte 3, scène 3, DORTIDIUS)
  173. Il n'est pas question, messieurs, de s'estimer ; v.932 (Acte 3, scène 3, THEOPHRASTE)
  174. C'est par ces beaux dehors que nous en imposons, v.935 (Acte 3, scène 3, THEOPHRASTE)
  175. C'est d'affermir encor l'amitié qui nous lie. v.945 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  176. Il est vrai. v.950 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  177. Vous. Cette chaleur en est le témoignage. v.953 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  178. Il est si difficile, après tant de succès, v.968 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  179. Ah ! C'est la vérité. v.979 (Acte 3, scène 4, CYDALISE)
  180. Je vois que le génie est toujours indulgent. v.984 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  181. Le véritable sage est un cosmopolite. v.990 (Acte 3, scène 4, DORTIDIUS)
  182. On tient à la patrie, et c'est le seul lien... v.991 (Acte 3, scène 4, DORTIDIUS)
  183. Fi donc ! C'est se borner que d'être citoyen. v.992 (Acte 3, scène 4, DORTIDIUS)
  184. Il est son seul monarque et son législateur ; v.996 (Acte 3, scène 4, DORTIDIUS)
  185. C'est aux grands à calmer les troubles qu'ils font naître. v.998 (Acte 3, scène 4, DORTIDIUS)
  186. Il voit en philosophe, et c'est voir comme il faut. v.999 (Acte 3, scène 4, THEOPHRASTE)
  187. Et si l'on peut parler sans fausse modestie, v.1006 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  188. C'est une découverte, une nouvelle route, v.1014 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  189. Oui, purement domestique, v.1017 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  190. Nous risquons, il est vrai, surtout les premiers jours ; v.1023 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  191. Ha, ha, ha, ha, ha, ha, c'est la vérité pure. v.1033 (Acte 3, scène 4, THEOPHRASTE)
  192. L'entreprise est hardie. v.1038 (Acte 3, scène 4, CYDALISE)
  193. Nous jouer ! Mais vraiment, c'est un crime d'état ; v.1039 (Acte 3, scène 4, DORTIDIUS)
  194. Nous en avons agi lestement avec elle. v.1046 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  195. Le pis aller, messieurs, c'est d'attendre l'orage, v.1049 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  196. C'est bien dit : qui le brave est son maître. v.1058 (Acte 3, scène 4, CYDALISE)
  197. C'est une gaillardise assez philosophique, v.1065 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR PROPICE)
  198. L'idée en est comique ; v.1066 (Acte 3, scène 5, CYDALISE)
  199. Mais cela n'est plus neuf. v.1067 (Acte 3, scène 5, CYDALISE)
  200. Cela n'est pas trop bon. v.1071 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR PROPICE)
  201. Voyons. Je les connais. Est-ce tout ? v.1075 (Acte 3, scène 5, CYDALISE)
  202. C'est un livre excellent ! v.1077 (Acte 3, scène 5, CYDALISE)
  203. Ceci, c'est le "Discours sur l'inégalité". v.1079 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR PROPICE)
  204. Quel est cet autre écrit... Là... Que je vois en tête ? v.1081 (Acte 3, scène 5, CYDALISE)
  205. Madame, ce n'est rien ; c'est le petit prophète . v.1082 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR PROPICE)
  206. Ah ! Ah ! Je m'en souviens ; il est très amusant. v.1083 (Acte 3, scène 5, CYDALISE)
  207. Oui, c'est un badinage infiniment plaisant. v.1084 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR PROPICE)
  208. Quoi ! "L'inégalité" ? C'est bien le mien aussi. v.1088 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  209. Ce livre est un trésor ; il réduit tous les hommes v.1089 (Acte 3, scène 6, THEOPHRASTE)
  210. Au rang des animaux, et c'est ce que nous sommes. v.1090 (Acte 3, scène 6, THEOPHRASTE)
  211. L'homme s'est fait esclave en se donnant des lois, v.1091 (Acte 3, scène 6, THEOPHRASTE)
  212. Et l'on est retenu par tant de préjugés... ! v.1096 (Acte 3, scène 6, THEOPHRASTE)
  213. Il est tant de savants qui n'en ont pas l'étoffe... ! v.1097 (Acte 3, scène 6, THEOPHRASTE)
  214. Le nom est singulier. v.1100 (Acte 3, scène 7, CYDALISE)
  215. Et c'est-là l'heureux fruit de mes réflexions. v.1104 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  216. Il est original du moins dans son système. v.1109 (Acte 3, scène 8, CYDALISE)
  217. Mais il est fort plaisant. v.1110 (Acte 3, scène 8, VALÈRE)
  218. Vous voyez ma cuisine, elle est simple et frugale. v.1114 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  219. On ne peut, il est vrai, se contenter à moins ; v.1115 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  220. C'est ce que nous cherchions ; un homme convaincu, v.1128 (Acte 3, scène 8, THEOPHRASTE)
  221. C'est penser en vrai sage. v.1141 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  222. Quel est donc cet animal plaisant ? v.1144 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR CARONDAS)
  223. C'est un grand philosophe, il sera de la fête. v.1145 (Acte 3, scène 9, CYDALISE)
  224. C'est Crispin, v.1147 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR CARONDAS)
  225. Parlez haut ; oui, c'est lui. v.1149 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  226. Quel est donc ce mystère ? v.1149 (Acte 3, scène 9, CYDALISE)
  227. Le valet de monsieur est votre secrétaire, v.1150 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  228. C'est la vôtre, monsieur. v.1154 (Acte 3, scène 9, CYDALISE)
  229. L'aventure est fâcheuse, v.1157 (Acte 3, scène 9, DORTIDIUS)
  230. C'est le dernier espoir de mon coeur outragé : partez. v.1167 (Acte 3, scène 9, CYDALISE)
  231. Et ce n'est plus à vous, madame, de vous plaindre. v.1174 (Acte 3, scène 10, DAMIS)

NINUS SECOND (1788)

  1. C'est pour toi qu'en ces lieux, ignorée et captive, v.7 (Acte 1, scène 1, CALCIOPE)
  2. J'ai caché tes destins sous le nom de Timur, v.9 (Acte 1, scène 1, CALCIOPE)
  3. C'est pour toi qu'Arbacès soulève la Médie ; v.19 (Acte 1, scène 1, CALCIOPE)
  4. De mes desseins secrets il n'est que l'instrument. v.22 (Acte 1, scène 1, CALCIOPE)
  5. J'aurais de votre fille ignoré les destins ; v.34 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  6. Le grand nom d'Arbacès n'est-il point parvenu ? v.38 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  7. Hélas ! Est-il un rang, est-il un nom pour moi ? v.50 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  8. Je l'attends de vous seul : mais il est temps, Seigneur, v.53 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  9. Il n'est point de forfaits que son coeur ne rassemble ; v.59 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  10. D'autant plus dangereux qu'il est lâche et qu'il tremble. v.60 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  11. Tel est Sardanapale ; et ce monstre respire ! v.63 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  12. Et c'est lui que les dieux destinaient à l'Empire ! v.64 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  13. Songez que tout délai peut devenir funeste, v.71 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  14. Et que mourir ou vaincre est l'espoir qui vous reste : v.72 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  15. Le destin de l'État, ne peut changer sans lui. v.74 (Acte 1, scène 2, CALCIOPE)
  16. Le glaive est suspendu sur ta tête coupable. v.76 (Acte 1, scène 3, CALCIOPE)
  17. Le jour est arrivé de punir un perfide. v.84 (Acte 1, scène 3, CALCIOPE)
  18. Tout opprobre finit alors qu'on est vengé. v.86 (Acte 1, scène 3, CALCIOPE)
  19. Il est temps de rompre le silence... v.88 (Acte 1, scène 4, SARDANAPALE)
  20. Va par des noeuds plus doux unir ma destinée. v.92 (Acte 1, scène 4, SARDANAPALE)
  21. Je veux vous épargner ce funeste spectacle ; v.95 (Acte 1, scène 4, SARDANAPALE)
  22. Qui, toi ? De mes destins adoucir l'inclémence ! v.103 (Acte 1, scène 4, CALCIOPE)
  23. Que ne puis-je oublier ce détestable jour, v.105 (Acte 1, scène 4, CALCIOPE)
  24. Vous trouverez à Sparte un destin plus tranquille. v.120 (Acte 1, scène 4, SARDANAPALE)
  25. Il est temps qu'à son tour elle apprenne à gémir : v.137 (Acte 1, scène 5, SARDANAPALE)
  26. Artazire, eu un mot, ma fille m'est ravie. v.152 (Acte 1, scène 6, ARBACÈS)
  27. Nourri loin de la Cour, ce n'est point à mon sang v.165 (Acte 1, scène 6, ARBACÈS)
  28. Ce n'est qu'au sang des Rois à commander au monde. v.172 (Acte 1, scène 6, ARBAC?S)
  29. Ah ! C'est trop m'exposer à d'indignes refus. v.173 (Acte 1, scène 6, SARDANAPALE)
  30. C'est en les éclairant qu'on doit servir les Rois, v.193 (Acte 1, scène 6, ARBACÈS)
  31. C'est à toi de choisir mes bienfaits ou ma haine : v.199 (Acte 1, scène 6, SARDANAPALE)
  32. Le moment est venu d'expier tes forfaits ; v.205 (Acte 1, scène 7, ARBACÈS)
  33. Ce nom cher à mon coeur m'est donc enfin permis ! v.222 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  34. Je m'éloigne à regret de ce séjour funeste ; v.227 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  35. Mon coeur doit obéir à des lois qu'il déteste ; v.228 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  36. La nature est trop faible, il la faut surmonter- v.230 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  37. Qu'il est présent encore à mon âme éperdue v.232 (Acte 2, scène 1, NINUS/TIMUR)
  38. Mais consolez un fils ; parlez, quel est mon père ? v.236 (Acte 2, scène 1, NINUS/TIMUR)
  39. Mais du moins son pays, quel est-il ? v.240 (Acte 2, scène 1, NINUS/TIMUR)
  40. Je me tairai, mon fils. Il n'est pas encor temps v.245 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  41. La fille d'Arbacès est digne de tes voeux, v.257 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  42. Et quelque espoir du moins est permis à tes feux. v.258 (Acte 2, scène 1, CALCIOPE)
  43. Grands Dieux ! Veillez sur elle, et changez ses destins. v.270 (Acte 2, scène 2, NINUS/TIMUR)
  44. Apprenez ses bienfaits ; Calciope est ma mère. v.275 (Acte 2, scène 3, NINUS/TIMUR)
  45. Que tu dois être heureux ! Que sa vertu m'est chère ! v.276 (Acte 2, scène 3, ARTAZIRE)
  46. Mon père est en ces lieux, le Ciel me le renvoie ; v.280 (Acte 2, scène 3, ARTAZIRE)
  47. Est-ce ici que le Ciel devait nous réunir ? v.297 (Acte 2, scène 3, NINUS/TIMUR)
  48. Mon amour n'y prévoit qu'un funeste avenir. v.298 (Acte 2, scène 3, NINUS/TIMUR)
  49. Pour douter... Mais on vient. C'est lui-même : ô mon père ! v.304 (Acte 2, scène 3, ARTAZIRE)
  50. Ce palais m'est suspect ; le tyran, sa fureur, v.310 (Acte 2, scène 4, ARTAZIRE)
  51. Ses détestables feux, tout me remplit d'alarmes. v.311 (Acte 2, scène 4, ARTAZIRE)
  52. Il me cache mes fers ; sa Cour est ma prison. v.314 (Acte 2, scène 4, ARTAZIRE)
  53. Si tu me vois ici, c'est pour te délivrer. v.318 (Acte 2, scène 4, ARBACÈS)
  54. Seigneur, il en est temps, prévenons un barbare, . v.319 (Acte 2, scène 4, NINUS/TIMUR)
  55. Tel est l'ordre du Ciel : ainsi de sa vengeance v.339 (Acte 2, scène 4, ARBACÈS)
  56. Madame, s'il est vrai qu'il anime un grand coeur, v.342 (Acte 2, scène 4, NINUS/TIMUR)
  57. Quel est, sans la vertu, le vain titre de Roi ! v.350 (Acte 2, scène 5, ARBACÈS)
  58. Et c'est à son pouvoir que les Dieux ont soumis v.357 (Acte 2, scène 5, ARBAC?S)
  59. Il était notre Roi, Seigneur, il ne l'est plus ; v.361 (Acte 2, scène 5, NINUS/TIMUR)
  60. Chaque jour de son règne est marqué par des crimes : v.364 (Acte 2, scène 5, NINUS/TIMUR)
  61. Plus son pouvoir est grand, moins on doit l'excuser ; v.365 (Acte 2, scène 5, NINUS/TIMUR)
  62. Contre sa tyrannie, il n'est point de refuge : v.367 (Acte 2, scène 5, NINUS/TIMUR)
  63. Arbacès, vous voyez si ce coeur est fidèle, v.375 (Acte 2, scène 6, PARAMIS)
  64. Du hasard d'un combat votre destin dépend ; v.385 (Acte 2, scène 6, PARAMIS)
  65. D'un destin si douteux la formidable image v.391 (Acte 2, scène 6, PARAMIS)
  66. Le succès est douteux, mais la gloire est certaine. v.404 (Acte 2, scène 6, NINUS/TIMUR)
  67. À ces nobles projets qu'il m'est doux d'être admis ! v.406 (Acte 2, scène 6, NINUS/TIMUR)
  68. Mais je dois vous guider, mon fils. C'est dans ces lieux v.409 (Acte 2, scène 6, PARAMIS)
  69. Vous est garant. Seigneur, de ma fidélité. v.418 (Acte 2, scène 6, NINUS/TIMUR)
  70. Ma fortune est un don de ses nobles aïeux, v.430 (Acte 2, scène 6, ARBACÈS)
  71. Dût rendre à nos destins leur antique splendeur, v.434 (Acte 2, scène 6, ARBAC?S)
  72. Ce bras qui s'est armé contre un Roi sanguinaire, v.435 (Acte 2, scène 6, ARBAC?S)
  73. Ce tendre sentiment n'est pas fait pour ton fils. v.446 (Acte 2, scène 7, PARAMIS)
  74. Ce n'est plus sur l'amour que mon espoir se fonde ; v.459 (Acte 3, scène 1, SARDANAPALE)
  75. Un bonheur sans orage est le trône où j'aspire ; v.472 (Acte 3, scène 1, ARTAZIRE)
  76. Seigneur, c'est la vertu que je voudrais aimer. v.474 (Acte 3, scène 1, ARTAZIRE)
  77. Ce coeur à vous punir n'est que trop excité ; v.489 (Acte 3, scène 1, SARDANAPALE)
  78. Ne lassez point, Madame, un reste de bonté. v.490 (Acte 3, scène 1, SARDANAPALE)
  79. Cesse de me parler d'un feu que je déteste : v.495 (Acte 3, scène 2, ARTAZIRE)
  80. Va, tyran, ton courroux me semble moins funeste. v.496 (Acte 3, scène 2, ARTAZIRE)
  81. On vient... C'est mon amant, c'est Timur qui s'avance. v.507 (Acte 3, scène 2, ARTAZIRE)
  82. Le barbare est venu me vanter son amour. v.510 (Acte 3, scène 3, ARTAZIRE)
  83. Promet-il à nos voeux un destin plus propice ? v.528 (Acte 3, scène 3, NINUS/TIMUR)
  84. De m'ignorer moi-même, et d'y rester toujours. v.542 (Acte 3, scène 3, NINUS/TIMUR)
  85. J'ignore de quel sang les destins m'ont fait naître ; v.544 (Acte 3, scène 3, NINUS/TIMUR)
  86. Que me réserve donc la céleste colère ? v.551 (Acte 3, scène 3, NINUS/TIMUR)
  87. Quels que soient tes destins, je les veux partager ; v.573 (Acte 3, scène 3, ARTAZIRE)
  88. Que dis-je ? Leur rigueur est déjà moins cruelle... v.575 (Acte 3, scène 3, ARTAZIRE)
  89. C'en est fait, ô mon fils, il faut nous séparer ; v.582 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  90. Le destin le commande, il faut qu'il s'accomplisse : v.588 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  91. Ciel vengeur que j'atteste ! v.595 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  92. Non, ce secret te serait trop funeste. v.596 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  93. Dieux ! Quel est mon malheur ! Je dois craindre mon père. v.599 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  94. Ignorer mes destins, vous perdre, vous, ma mère ! v.600 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  95. Qui ? Moi ! Craindre un tyran ! C'est à lui de trembler. v.609 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  96. Le barbare est tranquille au sein de la tempête ; v.611 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  97. Il croit braver les Dieux, mais leur vengeance est prête. v.612 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  98. C'est lui dont la fureur ose vous outrager ; v.613 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  99. Non, ce n'est pas à toi de lui percer le sein. v.618 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  100. Sur mes tristes destins daignez être tranquille ; v.619 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  101. Le désespoir est peint sur son visage : v.631 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  102. Il est beau de mourir pour venger sa Patrie. v.636 (Acte 3, scène 4, NINUS/TIMUR)
  103. Timur... il est ton Roi. v.637 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  104. Il est... Ciel ! Je frémis. v.638 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  105. Quel est donc ton dessein ? v.643 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  106. Mon fils... il est ton père. v.644 (Acte 3, scène 4, CALCIOPE)
  107. Cruels, si la lumière est un de vos bienfaits, v.653 (Acte 3, scène 5, NINUS/TIMUR)
  108. Commande à tes destins, fais-toi l'effort de vivre. v.664 (Acte 3, scène 5, NINUS/TIMUR)
  109. Ton père est inhumain ; mais tu dois le servir, v.665 (Acte 3, scène 5, NINUS/TIMUR)
  110. Et c'est alors, Timur, que tu pourras mourir. v.666 (Acte 3, scène 5, NINUS/TIMUR)
  111. Quoi ! Le nom de mon père est un malheur pour moi ! v.674 (Acte 4, scène 1, NINUS/TIMUR)
  112. Où fuir ? Où me cacher ? Ah ! Ciel ! C'est Artazire. v.683 (Acte 4, scène 1, NINUS/TIMUR)
  113. Parle, sur tes destins n'as-tu rien découvert ? v.685 (Acte 4, scène 2, ARTAZIRE)
  114. Hélas ! Tout est connu, ce jour affreux nous perd. v.686 (Acte 4, scène 2, NINUS/TIMUR)
  115. Qu'ai-je entendu, grands Dieux ? Ô destin plein d'horreur ! v.693 (Acte 4, scène 2, ARTAZIRE)
  116. Est-il bien vrai, Timur ? v.694 (Acte 4, scène 2, ARTAZIRE)
  117. Et quel est ton dessein ? v.705 (Acte 4, scène 2, ARTAZIRE)
  118. Est mon père. v.712 (Acte 4, scène 2, NINUS/TIMUR)
  119. Tout est connu, Madame ; un téméraire, un traître, v.731 (Acte 4, scène 2, SARDANAPALE)
  120. Arbacès est leur chef, il marche vers ces murs. v.734 (Acte 4, scène 2, SARDANAPALE)
  121. Mais ce n'est qu'aux autels que je veux pardonner. v.746 (Acte 4, scène 2, SARDANAPALE)
  122. Tremble ; c'est aux tyrans de tomber sous leurs coups. v.750 (Acte 4, scène 2, ARTAZIRE)
  123. Va, ton règne est passé ; redoute leur justice, v.751 (Acte 4, scène 2, ARTAZIRE)
  124. C'en est trop, que son sang... v.757 (Acte 4, scène 2, SARDANAPALE)
  125. S'il faut, pour le ravir au destin qui l'accable, v.759 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  126. Il est, Seigneur, il est un autre criminel : v.761 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  127. C'est lui, c'est son erreur que vous auriez du craindre. v.764 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  128. Et quel est-il ? v.766 (Acte 4, scène 4, SARDANAPALE)
  129. C'est moi. v.766 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  130. Je vous apprends ce funeste mystère : v.767 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  131. J'étais aveuglé ; c'est ma mère, c'est elle v.787 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  132. Ciel ! Il est donc instruit ! Il connaît sa naissance ! v.800 (Acte 4, scène 4, SARDANAPALE)
  133. Le jour que je respire est un de tes bienfaits ; v.813 (Acte 4, scène 4, NINUS/TIMUR)
  134. C'en est fait... à ta voix mon courroux doit s'éteindre : v.819 (Acte 4, scène 4, SARDANAPALE)
  135. Je rends grâce au destin qui prit soin de tes jours : v.821 (Acte 4, scène 4, SARDANAPALE)
  136. Je sens que tôt ou tard la nature est vengée : v.823 (Acte 4, scène 4, SARDANAPALE)
  137. C'est à toi de veiller à celui de l'Empire. v.828 (Acte 4, scène 4, SARDANAPALE)
  138. Va, malheureux, ton sort est encor plus fatal. v.833 (Acte 4, scène 5, SARDANAPALE)
  139. La nature entre nous n'a rien que de funeste ; v.835 (Acte 4, scène 5, SARDANAPALE)
  140. Plus il paraît soumis, et plus je le déteste ; v.836 (Acte 4, scène 5, SARDANAPALE)
  141. Est-il bien vrai, grands Dieux ! Mes maux sont-ils finis ? v.845 (Acte 5, scène 1, CALCIOPE)
  142. Il s'est laissé fléchir par les pleurs de son fils ! v.846 (Acte 5, scène 1, CALCIOPE)
  143. Si c'est un artifice ; il en est plus à craindre. v.852 (Acte 5, scène 1, CALCIOPE)
  144. Paramis ne vient point. Qu'est devenu son zèle ? v.863 (Acte 5, scène 1, CALCIOPE)
  145. Osons tenter du moins... Mais que vois-je ? C'est lui. v.866 (Acte 5, scène 1, CALCIOPE)
  146. Mon fils n'est plus ! v.870 (Acte 5, scène 2, CALCIOPE)
  147. Arbacès est vainqueur ; v.873 (Acte 5, scène 2, PARAMIS)
  148. Votre fils dans les rangs s'est ouvert un passage ; v.875 (Acte 5, scène 2, PARAMIS)
  149. S'est vu prêt à chercher son salut dans la fuite : v.884 (Acte 5, scène 2, PARAMIS)
  150. Il est un édifice écarté du palais ; v.894 (Acte 5, scène 2, PARAMIS)
  151. Sans doute il est instruit des fureurs de son père. v.907 (Acte 5, scène 2, CALCIOPE)
  152. On n'a pu lui cacher ce funeste mystère. v.908 (Acte 5, scène 2, PARAMIS)
  153. Et déjà ce palais est un vaste bûcher. v.914 (Acte 5, scène 2, PARAMIS)
  154. Il suffit ; mes regards seront témoins du reste. v.919 (Acte 5, scène 2, CALCIOPE)
  155. Je ne survivrai point à ton malheur funeste, v.920 (Acte 5, scène 2, CALCIOPE)
  156. Quel est donc son dessein ? Que prétend-elle faire ? v.923 (Acte 5, scène 3, PARAMIS)
  157. Quand ses destins affreux vous seront éclaircis, v.945 (Acte 5, scène 4, PARAMIS)
  158. Lorsque vous apprendrez de qui Timur est fils, v.946 (Acte 5, scène 4, PARAMIS)
  159. C'est Ninus par son père à périr condamné : v.974 (Acte 5, scène 6, PARAMIS)
  160. C'est moi qui le sauvai, moi dont la vigilance v.975 (Acte 5, scène 6, PARAMIS)
  161. J'osais vous accuser de mon destin contraire, v.979 (Acte 5, scène 6, ARBACÈS)
  162. Écartons à jamais ce souvenir funeste. v.991 (Acte 5, scène 6, CALCIOPE)
  163. Osons mieux de ce jour employer ce qui reste : v.992 (Acte 5, scène 6, CALCIOPE)

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LE BARBIER DE BAGDAD (1760)

  1. C'est-à-dire, que vous allez me répéter ce que vous m'avez déjà dit cent fois. (Acte 1, scène 1, FATMÉ)
  2. Non, Fatmé, je ne t'ai point encore dit combien elle est aimable, du moins ne te l'ai-je pas dit comme je le sens. (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  3. Je veux bien convenir que Zulime est en effet très aimable ; mais... (Acte 1, scène 1, FATMÉ)
  4. Zulime ne vous est-elle pas. Bien obligée ? (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  5. Ne voilà-t-il pas une jolie expression ? En vérité, vous autres femmes, quand vous louez les personnes de votre sexe, vous avez toujours un ton si sec, si aride, qu'il n'est pas possible de vous écouter de sang-froid. Je veux bien convenir ! (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  6. Je sais qu'il fut l'ami de mon père, que ma fortune est égale à la sienne, et qu'il pourrait peut-être me donner la préférence sur mes rivaux ; mais, Fatmé, le triste bonheur que de jouir d'un coeur à qui l'on aurait fait quelque violence ! (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  7. Et c'est un plaisir de plus que je dois à l'amour. (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  8. Il est trop vrai, Fatmé ; nulle autre femme n'est comparable à Zulime. (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  9. Prends ma bourse, ces bijoux ; tout est à toi, si je peux réussir à toucher le coeur de la belle Zulime. (Acte 1, scène 1, ALMANZOR)
  10. Dès qu'un maître est amoureux, il n'y a plus rien à gagner que pour ces intrigantes. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  11. C'est lui qu'il faut entendre parier de monsieur votre père, de sa sagesse, de sa prudence ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  12. C'est que ce n'est pas un barbier qui ne sache faire que la barbe, du moins. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  13. C'est un grand astrologue, un grand philosophe, qui prédit le beau temps et la pluie mieux qu'un almanach, qui explique tous les songes.... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  14. Mais ce n'est rien, ce n'est rien que tout cela. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  15. Ce n'est rien. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  16. Rien n'est si beau. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  17. Mais voilà qui est fait, Monsieur, je me l'appelle très-bien ce que j'avais à vous dire. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  18. Il est certain que Zulime est femme, par conséquent susceptible d'amour ; et quand elle aurait le coeur aussi dur que les arches du pont d'argent, les soumissions du prince bossu l'emporteraient à la fin sur les enchantements de la perfide baleine : ce qui doit absolument vous tranquilliser. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  19. Ce coquin est ivre ou ensorcelé. (Acte 1, scène 2, ALMANZOR)
  20. Quel est le démon qui t'a fourré dans la tête toutes ces extravagances ? (Acte 1, scène 2, ALMANZOR)
  21. Premièrement, Monsieur, il est clair que Zulime se moque de vous. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  22. Peste soit du maroufle ! (Acte 1, scène 2, ALMANZOR)
  23. N'est-il pas vrai que si j'ai le bonheur de plaire à Zulime, je l'épouse ? (Acte 1, scène 2, ALMANZOR)
  24. Si je l'épouse, il faudra que je lui fasse une maison, que je lui donne des esclaves, des eunuques ; et c'est toi précisément sur qui j'avais jeté les yeux, toi que je destinais intérieurement à cette fonction bienheureuse.... (Acte 1, scène 2, ALMANZOR)
  25. Chef des eunuques! oh! oh! c'est sans doute quelque dignité considérable ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  26. J'entends quelqu'un, c'est Fatmé. (Acte 1, scène 2, ALMANZOR)
  27. Mais quelle est cette plaisante figure ? (Acte 1, scène 3, FATMÉ)
  28. C'est un de mes esclaves noirs, qui se nomme Arlequin. (Acte 1, scène 3, ALMANZOR)
  29. Non, s'il vous plaît, qu'il ne s'en aille pas ; il est trop divertissant ; ha, ha, ha ! (Acte 1, scène 3, FATMÉ)
  30. Le singé de Zulime n'est pas, à beaucoup près, si plaisant ; ha, ha, ha, ha ! (Acte 1, scène 3, FATMÉ)
  31. Est-ce que vous croyez que l'on ne sait pas rire aussi bien que vous ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  32. Cette gaieté du moins est-elle d'un heureux présage pour mon amour ? (Acte 1, scène 3, ALMANZOR)
  33. Mes peines passées ne sont plus qu'un songe, dont le bonheur est le réveil. (Acte 1, scène 5, ALMANZOR)
  34. Ce Barbier loge à ma porte, et le malheureux n'est pas encore ici ! (Acte 1, scène 5, ALMANZOR)
  35. Je crois que tout le monde s'est donné le mot aujourd'hui pour m'impatienter. (Acte 1, scène 5, ALMANZOR)
  36. Peste soit du faquin de Barbier ! (Acte 1, scène 5, ALMANZOR)
  37. Béni soit, seigneur Almanzor, l'heureux jour qui m'approche de votre personne, le fidèle esclave qui est venu m'apporter vos ordres, et l'occasion fortunée qui me procure le précieux avantage de vous être utile ! (Acte 1, scène 6, LE-BARBIER)
  38. Tout est prêt, Monsieur, tout est prêt. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  39. Est-ce le Médecin, l'Astrologue ou le Barbier dont vous avez besoin ? (Acte 1, scène 6, LE-BARBIER)
  40. Doucement, seigneur Almanzor, doucement, toute impatience est dangereuse après une grande maladie. (Acte 1, scène 6, LE-BARBIER)
  41. Dans le moment il est à vous, Monsieur, dans le moment. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  42. Voilà qui est fait. (Acte 1, scène 8, LE-BARBIER)
  43. Vous serez, sans doute, fort aise d'apprendre que nous sommes aujourd'hui au dix-huitième de la lune de Saphar, de l'an quatorze cent treize, de l'époque du grand Iskender aux deux cornes ; c'est-à-dire que, par la conjonction actuelle de Vénus et de Mercure, vous ne pouviez choisir d'heure plus commode, plus propice et plus salutaire pour vous faire raser. (Acte 1, scène 8, LE BARBIER)
  44. Il est vrai que je dois vous prévenir aussi que la même conjonction vous expose... (Acte 1, scène 8, LE-BARBIER)
  45. Ce n'est pas moi qui suis venu vous chercher ; c'est vous qui m'avez fait quitter ma boutique, et je jure, foi de Musulman, que je ne sortirai point d'ici que je ne vous aie rasé. Si vous ne connaissez pas ce que je vaux, ce n'est pas ma faute. (Acte 1, scène 8, LE-BARBIER)
  46. Il n'est pas possible qu'il y ait au monde un homme qui se fasse, comme vous, un plaisir de désoler les gens ! (Acte 1, scène 8, ALMANZOR)
  47. Des amis m'attendent à un festin qu'ils me donnent pour célébrer le retour de ma santé. (Acte 1, scène 8, ALMANZOR)
  48. Seigneur, s'il est ainsi, je vous accompagne, et dès ce moment, je m'attache à votre service pour jamais. (Acte 1, scène 8, LE-BARBIER)
  49. Peste soit de l'extravagant ! (Acte 1, scène 8, ALMANZOR)
  50. Vos amis ne peuvent pas trouver mauvais que je vous accompagne : d'ailleurs, c'est une chose résolue; battez-moi, tuez-moi, je vous suivrai. (Acte 1, scène 8, LE-BARBIER)
  51. Voilà qui est fini, sans doute ? (Acte 1, scène 8, ALMANZOR)
  52. Qu'est-ce encore ? (Acte 1, scène 9, ALMANZOR)
  53. C'est ici la maison de Zulime. (Acte 1, scène 10, ALMANZOR)
  54. C'est encore ce fâcheux, ce démon que l'enfer a détaché sur mes pas ! (Acte 1, scène 10, ALMANZOR)
  55. Je vois ce que c'est. (Acte 1, scène 11, LE-BARBIER)
  56. Peste ! (Acte 1, scène 11, LE BARBIER)
  57. Almanzor est très heureux que je puisse observer ce qui se passe.... (Acte 1, scène 11, LE BARBIER)
  58. C'est lui-même, c'est le Cadi. (Acte 1, scène 11, LE BARBIER)
  59. Arlequin est éloigné... (Acte 1, scène 12, LE-BARBIER)
  60. Voulant du moins lui disputer sa proie, je me suis au plutôt débarrassé de mon panier ; mais lui, sans paraître occupé de sa défense, tranquillement et comme pour me braver, a commencé par dévorer le fromage avec une avidité qui tient du prodige. La douleur me prêtait des forces : j'allais m'élancer sur lui ; déjà même je croyais le saisir, quand le traître, me passant sous le bras, a trouvé le moyen de s'emparer encore du panier ; et me laissant immobile d'étonnement, s'est mis à courir d'une vitesse qui m'a fait perdre l'idée de le suivre. (Acte 1, scène 12, LE-BARBIER)
  61. Le cas est grave. (Acte 1, scène 12, AMBLÉTUSE)
  62. Il est un de ceux expressément condamnés dans l'Alcoran, chapitre sept, verset soixante. (Acte 1, scène 12, AMBL?TUSE)
  63. Vraiment, ce n'est pas là mon compte. (Acte 1, scène 12, LE-BARBIER)
  64. Mais quel est-il encore cet esclave ? (Acte 1, scène 12, AMBLÉTUSE)
  65. C'est lui-même. (Acte 1, scène 12, LE-BARBIER)
  66. C'est cela. (Acte 1, scène 12, LE-BARBIER)
  67. Oui, je pense, c'est lui-même. (Acte 1, scène 13, LE-CADI)
  68. C'est un stratagème. (Acte 1, scène 13, LE-BARBIER)
  69. Il est vrai que j'ai les côtes toutes rompues. (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  70. Mais ce qui me désole, c'est que tu les aies reçus ces coups de bâton. (Acte 1, scène 14, LE-BARBIER)
  71. Cela m'est égal à présent. (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  72. C'est moi. (Acte 1, scène 14, LE-BARBIER)
  73. Ton maître est actuellement chez la fille du Cadi. (Acte 1, scène 14, LE-BARBIER)
  74. Je me trompais ; ce n'est que le tournebroche. (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  75. Tout est donc bien tranquille ? (Acte 1, scène 14, LE-BARBIER)
  76. Peste ! (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  77. Ce n'est rien, ce n'est rien ; c'est le petit chat qui miaule. (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  78. Ce n'est plus un badinage, au moins. (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  79. Qu'est-ce donc, mon cher Arlequin ? (Acte 1, scène 14, LE-BARBIER)
  80. C'est assurément ton maître qui est découvert. (Acte 1, scène 14, LE-BARBIER)
  81. C'est une chose abominable, et, qui crie vengeance ! (Acte 1, scène 14, LE BARBIER)
  82. C'est encore ce malheureux ! (Acte 1, scène 15, ALMANZOR)
  83. Est-ce qu'il est dans ma maison ? (Acte 1, scène 15, AMBLÉTUSE)
  84. Mes amis, si ce que vous dites est vrai, il n'est pas besoin, de faire tant d'éclat. (Acte 1, scène 15, LE-CADI)
  85. C'est Almanzor lui-même : qu'on l'arrête, à l'instant. (Acte 1, scène 15, LE-CADI)
  86. Il n'en est pas besoin, seigneur Cadi. (Acte 1, scène 16, ALMANZOR)
  87. J'adore, il est vrai, la belle Zulime. (Acte 1, scène 16, ALMANZOR)
  88. Ma perte et ma grâce sont entre vos mains ; mais Zulime vous est chère, et le même arrêt qui lui donnerait la mort, entraînerait aussi la mienne. (Acte 1, scène 17, ZULIME)

LES TUTEURS (1760)

  1. Mon coeur est à Damis. v.4 (Acte 1, scène 1, JULIE)
  2. La crainte par malheur n'est que trop bien fondée ; v.9 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  3. Mais c'est précisément le moyen infaillible v.21 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  4. Ce maudit testament m'inquiète, et m'afflige. v.26 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  5. Ma douleur est extrême. v.30 (Acte 1, scène 1, JULIE)
  6. Oh ! vous courez danger de rester longtemps fille. v.42 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  7. Pester, jurer , gronder, dans ses accès farouches, v.45 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  8. Je vois tous les écueils, mais l'amour est pour nous. v.60 (Acte 1, scène 1, JULIE)
  9. Si l'on en fit un dieu, c'est qu'il fait des miracles ; v.62 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  10. Monsieur Damis, sans doute, est dans la confidence ? v.66 (Acte 1, scène 1, MARTON)
  11. C'est par-là que surtout il a su m'enflammer, v.79 (Acte 1, scène 1, JULIE)
  12. Je ne vois pour nos feux qu'un avenir funeste. v.85 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  13. Un affreux désespoir est tout ce qui nous reste. v.86 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  14. Je vois tous les écueils, mais l'amour est pour nous. » v.104 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  15. A besoin de Marton, et l'Amour n'est qu'un sot. v.108 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  16. Elle a raison, l'Amour est un fort mauvais guide ; v.109 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  17. Plus le mien est ardent, plus il me rend timide. v.110 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  18. Malgré moi, cette crainte est tout ce qui m'occupe. v.121 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  19. Ce que vous avez dit, au fonds, est très bien dit ; v.123 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  20. Mais comme il n'est doué que d'un discernement v.135 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  21. Oh ! Monsieur, demandez, je l'ai peint tel qu'il est. v.148 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  22. L'autre est une autre fou que la mode gouverne. v.149 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  23. Rien ne lui paraît beau qu'autant qu'il est moderne ; v.150 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  24. C'est là qu'il a puisé sa politique habile. v.158 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  25. Pour elle son estime est enfin si complète, v.161 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  26. Que lorsqu'il est à table on lui lit la gazette. v.162 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  27. La gazette est très belle, et je l'estime fort. v.164 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  28. Et s'il est amoureux, c'est du bien du Julie. v.174 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  29. Et quel est-il, Marton ? v.175 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  30. Beaux esprits s'il leur plaît, il n'est rien qu'ils n'escroquent ; v.182 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  31. Et comment, ce valet, dont il est si connu, v.187 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  32. Son Maître est prévenu, v.188 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  33. Et quand il l'est, Monsieur, il l'est bien. v.189 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  34. Dont il est fort avide, et qu'il ne comprend guère, v.198 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  35. Mais ma vie en dépend, l'Amour est le plus fort ; v.216 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
  36. Il vous est important qu'aucun ne vous ait vu. v.219 (Acte 1, scène 2, MARTON)
  37. Voilà donc comme on est quand on est amoureuse ? v.222 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  38. Mais c'est aimer cela comme l'on n'aime plus, v.223 (Acte 1, scène 3, MARTON)
  39. À ton âge, un époux est un mal nécessaire, v.229 (Acte 1, scène 4, BAVARDIN)
  40. Que vous avais-je dit ? C'est ce bel intriguant. v.232 (Acte 1, scène 4, MARTON)
  41. Mais c'est un homme instruit des intérêts des Princes ; v.234 (Acte 1, scène 4, BAVARDIN)
  42. Un homme ! Qui, je crois, est de tous leurs secrets, v.235 (Acte 1, scène 4, BAVARDIN)
  43. La peste, v.245 (Acte 1, scène 4, MARTON)
  44. Outre cela, c'est qu'il est si modeste v.246 (Acte 1, scène 4, BAVARDIN)
  45. Peste de la gazette et du sot qui la lit ! v.275 (Acte 1, scène 4, ORGON)
  46. Peste soit des trépieds et du sot qui les fit ! v.276 (Acte 1, scène 4, BAVARDIN)
  47. Le débat est très original. v.280 (Acte 1, scène 4, MARTON)
  48. Elle a ma foi raison, non pas que je n'estime v.289 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  49. Ah ! c'est-là, c'est chez eux que la vertu domine : v.306 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  50. Avez-vous oublié que c'est une Pécore ? v.322 (Acte 1, scène 4, MARTON)
  51. Ce n'est qu'un animal, un imbécile, un sot. v.323 (Acte 1, scène 4, MARTON)
  52. Il est vrai. v.328 (Acte 1, scène 4, ORGON)
  53. Et c'est de votre choix qu'elle attend un époux. v.336 (Acte 1, scène 4, MARTON)
  54. Oui fans doute, c'est moi qui dois disposer d'elle, v.337 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  55. Qu'il faudra m'obéir, ou rester fille : Adieu. v.339 (Acte 1, scène 4, ORGON)
  56. Et quel est le vieillard qui dans le stratagème... v.353 (Acte 2, scène 1, MARTON)
  57. « Ignorant, disait-il, le Mogol est en paix ! v.359 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
  58. Je m'écrie : « Oui Crispin, le Mogol est en feu. » v.368 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
  59. « Lisez, lui dis-je, elle est du grand eunuque noir. » v.375 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
  60. Est-elle aussi du compte ? v.388 (Acte 2, scène 1, MARTON)
  61. Va, le bonhomme en tient, incontestablement. v.399 (Acte 2, scène 1, CRISPIN)
  62. C'est bien cher. Mais n'importe : un si beau monument v.400 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  63. Il est particulier, v.404 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
  64. Et c'est faire en deux mots connaître votre esprit, v.408 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
  65. Est de vous occuper à rassembler chez vous v.412 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
  66. Est le même à peu près, ou pour mieux dire en tout, v.424 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
  67. Aimer l'antiquité ! C'est être vraiment sage ; v.430 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  68. C'est sans doute une antique ! v.432 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  69. Qu'on voit assurément que rien n'est moins nouveau. v.435 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  70. Hé bien, malgré cela, convenez qu'il est beau. v.436 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  71. Ah ! S'il est beau ! v.437 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  72. D'ailleurs, c'est qu'il est si commode ! v.437 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  73. En fait d'antiquité mon Maître est un bon juge, v.441 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  74. Comment ! c'est un bonheur d'avoir un tel habit. v.444 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  75. Il est vrai. v.461 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  76. C'est un homme admirable... v.470 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  77. Il est vrai. v.484 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  78. C'est à Rome en effet que mourut ce grand homme. v.486 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  79. L'argent coûte si cher ; le jeter, c'est folie ! v.497 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  80. Vraiment, c'est quelque chose. v.513 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  81. C'est faiblement, Monsieur, vous payer la lanterne ; v.517 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  82. Ma Pupille est pour elle un prix bien subalterne ; v.518 (Acte 2, scène 2, ORGON)
  83. C'est bien dit. v.520 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  84. C'en est fait, j'y consens : v.523 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
  85. Voyez la destinée. v.530 (Acte 2, scène 2, CRISPIN)
  86. Bon, déjà l'antiquaire est pris dans nos filets ; v.535 (Acte 2, scène 3, CRISPIN)
  87. Le dédit est signé, Crispin ; je suis ravi. v.543 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
  88. La pupille est à nous. v.546 (Acte 2, scène 4, CRISPIN)
  89. Il n'est pas naturel de perdre à si beau jeu. v.547 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
  90. Vous savez à quel point, Monsieur, elle est aimable ! v.557 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  91. Je serais déjà loin. À mon gré c'est mourir v.567 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  92. Que de rester chez soi. Quoi, vivre sans courir ! v.568 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  93. C'est donc un beau pays ? v.574 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  94. Il est, ne vous déplaise, v.574 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  95. S'il est beau ! Mais sans lui c'est que l'on n'a rien vu. v.576 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  96. C'est là, Monsieur, c'est là qu'on trouve des génies ; v.577 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  97. La musique surtout est charmante. v.582 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  98. Et l'orchestre ? v.583 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  99. L'Orchestre est admirable aussi. v.583 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  100. Les danseuses surtout sont autant de vestales. v.586 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  101. C'est qu'il la danse aussi bien que personne : v.590 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  102. Ce n'est pas comme ici ; nous sommes les sauvages. v.601 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  103. Près de cet élixir, l'eau de goudron n'est rien ; v.607 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  104. Ce port majestueux qui charme en Circassie ; v.630 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  105. Il n'est pas de climat qui ne la trouvât belle. v.638 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  106. C'est de vous que dépend le succès de mes voeux, v.640 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
  107. Mais malheureusement elle est assujettie v.646 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  108. Mais c'est fort bien penser. v.656 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  109. Ma foi, pour réussir il n'est pas d'autre route. v.658 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  110. C'est mon genre. v.667 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  111. C'est un plaisir de plus de les choquer tous deux. v.672 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  112. C'est un homme accompli, qui l'aime, et qui d'ailleurs v.691 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  113. Je me suis engagé par écrit, qui plus est. v.700 (Acte 2, scène 7, ORGON)
  114. Mais, c'est un nouvelliste. v.709 (Acte 2, scène 9, BAVARDIN)
  115. Ah ! C'est mon antiquaire. v.709 (Acte 2, scène 9, ORGON)
  116. Non, c'est mon voyageur, messieurs, sans vous déplaire. v.710 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  117. Mon rôle est achevé, je ne suis qu'un amant. v.712 (Acte 2, scène 9, DAMIS)
  118. M'avoir ainsi joué ! Le trait est singulier. v.716 (Acte 2, scène 9, BAVARDIN)
  119. Je l'avais bien prédit, l'amour est le plus fort ; v.719 (Acte 2, scène 9, MARTON)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 710 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 142,00 occurences par texte.

Titres Prologue Acte 2 Acte 1 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Total
1 LE CERCLE01050000105
2 LE CERCLE4000004
3 LES PHILOSOPHES088657800231
4 NINUS SECOND04132373023163
5 LES TUTEURS06455000119
6 LE BARBIER DE BAGDAD008800088
  Total42982401153023710

 

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